Abeilles et pollinisateurs en Val D’Orge

Le Mercredi 3 juin

« Abeilles et pollinisateurs en Val D’Orge »

Par Françoise Brun

Dans le monde, on estime que les trois quarts des cultures alimentaires dépendent au moins en partie de la pollinisation par des animaux, les insectes en particulier. La venue des biocarburants augmentent encore la demande de pollinisateurs sauvages et domestiques. Or, il semblerait que ceux-ci déclinent en nombre et diversité.

Qui sont-ils ? Quelles peuvent être les raisons de leur déclin ? Peut-on y remédier ?

Les zones péri-urbaines comme la nôtre peuvent-elles leur servir de refuge ?

Partons à leur découverte dans le Val d’Orge avec le programme de sciences participatives Spipoll (Suivi Photographique des Insectes POLLinisateurs ) initié par le Muséum national d’histoire naturelle et l’OPIE (Office Pour les Insectes et leur Environnement)

Un commentaire

  1. La saison serait-elle aux abeilles ? Tant mieux ! Au moment même où Françoise Brun instruisait (au sens pédagogique et judiciaire) l’université, plusieurs articles et comptes rendus paraissaient dans la presse. Voir dans Libération du 28 mai une recension par Robert Maggiori du livre des frères Tavoillot L’Abeille et le philosophe, étonnant voyage dans la ruche des sages (Odile Jacob). Et dans le Monde des Livres du 4 juin, la chronique de Roger-Pol Droit, Les abeilles font de la philo. D’où l’on pourra retenir – entre autres – que certain pères de l’Eglise avaient les abeilles à la bonne, cat elles au moins n’ont pas besoin de s’adonner à la copulation pour se perpétuer (RM); et que, pour citer RPD, « l’abeille n’est pas un insecte, mais un miroir et un baromètre du destin de l’humanité, une surface de projection de nos fantasmes comme de nos idéaux ». Pour aller plus loin…